La chaleur de leur peau se mêla comme une promesse muette, leurs doigts effleurant les contours de cette attirance qui grandissait entre elles. Élise, ses seins volumineux tendant le tissu de son chemisier, s’immobilisa un instant sous le regard intense de Mélanie. Leurs souffles se synchronisèrent tandis que la jeune femme aux boucles auburn caressa l’élastique du pantalon pour glisser sa main vers cette chatte rasée, humide déjà. Lorsque ses doigts trouvèrent son clitoris, Élise frissonna, retenant un gémissement dans le cou de son amante.
La tension monta, palpable comme l’odeur d’une passion contenue. Mélanie étala les cuisses d’Élise avec une lenteur délibérée avant de pencher sa tête vers cette toison qu’elle avait imaginé des semaines durant. Elle recouvrit son sexe entièrement, ses lèvres avalant le clitoris pour un cunnilingus qui laissait Élise tremblante. Ses halètements se firent plus frénétiques alors que Mélanie introduisit son index dans sa chatte avant d’y plonger un deuxième doigt avec une force accrue.
« Plus fort… », murmura Élise, son bassin se balançant pour absorber chaque attaque. La friction de la langue contre son clitoris et le contact rugueux des cheveux de Mélanie sur ses fesses firent naître une sueur froide entre leurs peaux. Lorsque Mélanie retira sa bouche, Élise se pencha vers elle pour un baiser gourmand, ses seins pressant contre ceux de son amante tandis qu’elle lui faisait une fellation avec une fougue qui arracha des grognements rauques.
La table du salon fut le théâtre d’un nouvel échange : Élise à quatre pattes, sa chatte exposée comme un temple sacré. La lumière de la lune joua sur ses courbes alors que Mélanie introduisit son doigt dans son cul avec une précaution qui contrastait avec l’urgence de leur désir. « Regarde ta chatte… », chuchota-t-elle, poussant le deuxième doigt pour un anulingus qui laissa Élise haletante. Ses cris se muèrent en halètements lorsqu’elle plongea sa langue vers son anus et son sexe, aspirant chacune des gouttes de leur plaisir.
La chambre devint une arène d’émotions contradictoires. Leurs corps s’enlacèrent avec violence malgré le ralenti de leurs mouvements, leurs mains parcourant les galbes généreux des seins à la croupe rebondie. Lorsque Mélanie mordit l’épaule d’Élise pour un baiser qui lui arracha une grimace, celle-ci se cambra en renversant le lit avant de plaquer son visage contre celui de son amante.
« Encore… », gémit-elle entre deux respirations saccadées. Mélanie se redressa alors pour glisser ses doigts vers le cul d’Élise, l’écarter avec une audace qui la fit frissonner. « Regarde ton cul… », murmura-t-elle avant de plonger sa langue vers son anus et sa chatte, aspirant à la fois les odeurs et la sueur. Lorsque ses doigts trouvèrent le clitoris, Élise explosa dans un râle prolongé qui résonna comme une prière.
Les secondes s’écoulèrent en silence avant qu’elle ne se retourne pour mordre l’épaule de son amante. Les caresses reprirent avec une violence nouvelle : les seins frottés, les fesses écartées et des doigts qui plongeaient dans chaque orifice sans répit. Leurs gémissements s’entrecroisèrent pour former un rythme hypnotique tandis qu’un organe après l’autre se tendait vers le plaisir.
« Encore… », supplia Mélanie, son bassin se levant pour recevoir les doigts de son amante. Lorsque celle-ci s’arrêta pour la pénétrer enfin avec une main entière dans son cul et une langue qui aspirait son clitoris, un rugissement rauque échappa à Élise. Ses cris se transformèrent bientôt en cris étouffés lorsqu’elle s’agenouilla pour pratiquer le sexe oral avec une ferveur nouvelle.
Leur union se prolongea jusqu’à ce que leurs muscles fléchissent, l’air humide de transpiration et d’haleines mêlées. Les seins de Mélanie oscillèrent doucement tandis qu’elle observait Élise essuyer ses joues couvertes de larmes de plaisir. Un sourire étira leurs lèvres alors que le silence se refermait sur eux, un soupir collectif de satiété et de désir inassouvi.







