La lumière tamisée de l’ascenseur enveloppait leurs corps, laissant glisser une douce chaleur entre eux. Sarah, vêtue d’une jupe courte qui soulignait ses jambes fuselées et ses grosses fesses rebondies, sentit un frisson parcourir son dos lorsqu’Élise approcha sa main de son ventre plat. Les seins volumineux de cette dernière se pressèrent contre elle sans vergogne, tandis que leurs respirations se mêlaient dans un murmure étouffé par le silence feutré des portes closes.
La bouche d’Élise effleura son cou, déposant des baisers humides qui firent frémir Sarah. Elle serra les cuisses, consciente que la chatte de sa collègue, glabre et gonflée, se pressait contre elle sous l’étoffe fine de leur étreinte. Leurs doigts jouèrent à se perdre dans leurs cheveux jusqu’à ce qu’une main experte plonge entre les cuisses humides pour explorer la chatte rasée de Sarah avec une délicatesse exacerbée par le risque.
Soudain, un grognement rauque franchit ses lèvres lorsqu’elle sentit Élise l’enfermer dans un coin obscur des portes closes. « Putain, t’as pas idée à quel point je te veux… », chuchota-t-elle contre son cou avant de se pencher vers son sexe tendu entre ses cuisses. Sa langue lécha avec une puissance inattendue le clitoris durci, et Sarah s’accrocha aux épaules d’Élise pour ne pas tomber, tandis que les cris étouffés par un doigt pressé sur sa bouche résonnaient comme des coups de trique. Leurs halètements se firent plus frénétiques, le rythme cardiaque syncopant avec la cadence du sexe oral.
« Regarde-toi… », murmura Élise en attrapant sa hanche pour lui montrer son visage penché entre ses cuisses, les lèvres collées à une chatte dilatée et offerte. Sarah se mordit la lèvre inférieure en voyant son clitoris se tendre sous le regard de sa collègue, tandis que deux doigts s’enfonçaient dans son cul avec une précision cruelle qui la fit gémir. « Oh mon dieu… », balbutia-t-elle alors qu’Élise alternait des coups de langue sur son sexe et des pressions dans son anus, faisant éclater en elle un plaisir aussi violent qu’inattendu.
Les portes s’ouvrirent avec un cliquetis strident qui sembla durer une éternité. Sarah se sentait à la fois vulnérable et impériale, ses seins lourds oscillant sous le regard gourmand d’une collègue invisible. « Attends… », haleta-t-elle en serrant les cuisses autour de la main encore plongée dans son cul avant de s’agenouiller à quatre pattes devant Élise pour lui présenter sa chatte luisante et son cul palpitant. Une langue humide glissa entre ses fesses, puis descendit vers le trou dilaté par ses doigts, tandis que des ongles griffèrent sa chatte rasée avec une violence qui la propulsa vers un orgasme.
« Encore… », supplia-t-elle en sentant son anus se serrer autour du doigt d’Élise qui le sortit pour plonger à nouveau dans son sexe. Une main saisit ses seins, les pétrissant avec une violence appréciable alors que la bouche de sa collègue enserrait son clitoris en suçant comme un animal affamé. Sarah se cambra en sentant ses jambes trembler, et le rugissement étouffé qui sortit d’elle au moment de jouir résonna dans l’ascenseur. Un long frisson parcourut leurs corps collés alors qu’un second orgasme la submergea, plus intense que le premier.
Élise rit en l’enlaçant, ses seins pressés contre sa poitrine moite de sueur et de désir non assouvi. « T’as vu ta chatte… », murmura-t-elle en caressant les plis humides entre ses cuisses avant de se pencher vers son cul pour y déposer un baiser furtif mais puissant comme une promesse. Sarah rit, tirant sur sa queue invisible avec une gestuelle si explicite que la tension dans l’ascenseur redoubla quand Élise s’enfonça dans son vagin.







