La lumière tamisée des lampes éclairait l’intimité d’un lit moelleux où Élise, aux seins pleins et à la silhouette élancée, se glissait doucement vers Anaïs. Ses doigts effleuraient les courbes de son corps, parcourant avec une délicatesse infinie le creux de ses reins avant de descendre vers sa toison soigneusement écartée. La chatte d’Anaïs était lisse et chaude, et Élise se pencha pour y poser les lèvres, humant son odeur avec une voracité silencieuse. Leurs respirations fusionnaient en un murmure rauque alors que la première caressait le clitoris de sa compagne avec des mouvements circulaires qui faisaient onduler ses hanches.
Le corps d’Anaïs se cambrait lentement, son bassin arqué vers l’avant comme pour un rituel ancestral. Élise poursuivit son exploration avec une précision devenue presque médicale : elle écarta ses fesses de sa main libre pour y plonger un doigt dans le cul, pénétrant sans hâte la chaleur humide et serrée d’Anaïs qui gémit en s’accrochant aux draps. La tension montait entre elles, une danse où les gémissements se faisaient plus rares mais plus intenses, comme un violon grinçant sous l’aiguille de son interprète.
Élise recula pour observer Anaïs à quatre pattes. La lumière jouait sur ses courbes généreuses, soulignant le galbe des seins qui oscillaient doucement tandis qu’elle se cambrait pour offrir sa chatte et son cul aux doigts de son amante. Un souffle s’échappa entre ses lèvres quand Élise introduisit un deuxième doigt dans la chatte, étirant le canal avec une pression délicate avant d’y ajouter un troisième. La tension des muscles de Anaïs se dissipa en ondes chaudes qui parcoururent son dos.
Leurs langues se retrouvèrent soudain dans une étreinte chaude et humide, tandis que les mains d’Élise glissèrent vers la chatte d’Anaïs qu’elle palpa avec avidité. La jeune femme se cambra davantage, offrant son cul à un doigt supplémentaire qui trouva l’anus sans difficulté pour le pénétrer lentement. Anaïs gémit plus fort, ses cris de plaisir résonnant dans la pièce comme des notes de violoncelle. Elle commença à bouger en cadence avec les coups de reins d’Élise, un rythme syncopé qui accélérait et ralentissait selon l’humeur du moment.
Les seins de Élise rebondissaient au rythme des secousses de Anaïs alors qu’elle lui faisait une fellation, sa bouche s’appliquant à recueillir la moindre goutte. La chatte d’Anaïs tremblait sous l’assaut combiné des doigts et des langues, son odeur flottant dans l’air comme un parfum de miel brûlé. Élise s’arrêta soudain pour la regarder avec une intensité presque cruelle, ses paupières lourdes et humides alors que le corps d’Anaïs se tendait vers elle.
La tension atteignit un point de fusion. La chatte de Anaïs fut envahie par les doigts et la langue de son amante qui lui offrit une fellation vorace, sa bouche s’enfonçant avec avidité dans le sexe gonflé d’Anaïs. Leurs cris se mêlaient aux halètements de leurs respirations entremêlées alors qu’elles grimpaient vers un orgasme qui éclata en ondes synchronisées, Anaïs se cambrant sous l’intensité des vagues. La chatte et le cul d’Anaïs se contractèrent autour des intrusions, des cris de pur plaisir fusèrent avant que leurs corps ne s’effondrent en une masse chaude.
Élise sourit en regardant son amante pantelante. « Tu as vu comme ton cul est parfait quand il se serre autour de mes doigts? » murmura-t-elle avec un air de défi, avant de replonger sa main vers les lèvres pulpeuses de Anaïs qui s’ouvrirent immédiatement à son contact. La jeune femme gémit et rougit en même temps, ses seins tremblant sous le choc des ondes de plaisir qui redoublaient déjà.
La suite se fit plus animale : Élise prit Anaïs par les hanches pour la forcer à se présenter à elle en position de chien. Ses doigts trouvèrent immédiatement l’anus et la chatte, pénétrant chacun avec une précision d’horloger avant que sa langue ne vienne s’enfouir dans la chatte rasée. Anaïs se cambra comme un arc en pleine tension, ses gémissements fusionnant à présent avec les sons des doigts et de la bouche qui l’exploitaient sans pitié.
Lorsque le deuxième orgasme arriva, il fut plus violent encore : Anaïs hurla tandis qu’elle se tordait sous un mélange d’anal et de cunnilingus, ses seins rebondissant comme des tambours. Élise s’enfonça dans son cul pour le remplir entièrement avant de lui offrir une fellation sauvage, ses lèvres et sa langue se pressant avec frénésie contre son sexe tendu.
Aucune parole ne fut échangée pendant ce rituel. Elles étaient simplement là, deux corps nus et enfiévrés se confrontant dans une danse aussi violente qu’elle était douce lorsqu’il le fallait. Les seins d’Élise s’écrasaient contre le dos moite de Anaïs à chaque mouvement, leurs sexes et leurs cris fusionnant en un crescendo qui emplissait la chambre.







